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INTERVIEW DE JEROME - AIDE-SOIGNANT

Par Marie

 

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Pourquoi as-tu voulu devenir aide-soignant ?

Parce que c'est un métier où on aide les gens, où on a un contact avec eux. C'est un métier très intéressant. J'aime travailler avec des personnes Je suis pas quelqu'un qui aime travailler trop dans le matériel, j'ai préféré me lancer dans quelque chose qui a un contact avec les personnes, et surtout pouvoir les aider pour les gens qui sont hospitalisés.

Quelles études faut-il faire pour devenir aide-soignant ?

Il faut passer un concours d'entrée pour rentrer dans une école d'aide-soignant. Ensuite une fois qu'on obtient ce concours on a un an de formation dans un centre de formation en soins infirmiers et à la fin de cette année, il y a un diplôme qui s'appelle le DPAS. Si on obtient ce diplôme on a la formation d'aide-soignant.


Que fait un aide-soignant à Romans ?

Il gère le quotidien des enfants, il fait le lien entre les différents intervenants, entre les kinés, les profs, les médecins, les infirmiers et il fait le lien aussi avec les familles. Il est là pour écouter les enfants, il est là pour s'occuper un peu de tout ce qui est son aussi au niveau matériel de l'enfant, notamment les appareillages à Romans Ferrari. Voilà il gère la vie quotidienne des enfants, il participe aussi aux sorties.

Pourquoi as-tu voulu travailler avec des enfants ?

Parce que c'est une population qui est très intéressante, qui a un avenir et c'est bien de réfléchir à ça au niveau des enfants. Ils sont très enrichissants surtout, on apprend beaucoup avec les enfants, c'est très intéressant.


Qu'est-ce que tu aimes le plus dans ce métier ?

Ce que j'aime le plus dans ce métier : quand un enfant me fait un grand sourire. C'est tous ces liens, toutes ces choses qu'on apprend, qu'on peut apporter, tout ce contact avec les enfants.


Qu'est-ce que tu aimes le moins dans ce métier ?

Ce que j'aime le moins dans ce métier : je dirais les périodes de stress qu'on peut subir. Comme on est nombreux, on doit faire le lien avec les différents intervenants, on nous met pas mal de pression là-dessus, c'est peut-être ça que j'aime le moins.